SynerJ Health se réinvente, la Directrice nous dit TOUT (Entretien exclusif)

Introduction et salutations

Damien : Eh bien voilà, bonjour Claire !

Claire : Bonjour Damien !

Damien : Comment vas-tu aujourd’hui ? Eh bien ça va très très bien ! Alors je suis ravi de t’avoir… Je te remercie beaucoup pour le temps que tu m’accordes.

Présentation de Claire Rouchon et de SynerJ Health

Damien : Donc en fait pour les personnes qui ne te connaissent pas, Claire c’est la directrice de SynerJ Health.

Claire : Oui…

Damien : Et j’ai justement envie que les personnes fassent un peu plus ta connaissance. Donc si tu pouvais te présenter en deux mots s’il te plaît ?

Claire : Alors oui je m’appelle donc Claire Rouchon, je suis à la direction de la société, mais pas que, donc la société SynerJ ce n’est pas une pyramide, c’est plus un groupe et c’est plus un cercle.

Donc il faut quelqu’un à la direction parce qu’il faut quelqu’un qui mette une signature sur le bas d’un contrat ou sur un virement bancaire, donc en effet c’est moi.

Mais je tiens tout de suite à exprimer une valeur qui est importante chez SynerJ et qui est d’être dans le partage et d’être dans les multicompétences de différentes personnes. Donc ça c’est très important, je ne suis pas le dirigeant qui donne toutes les instructions loin de là, j’en serais bien incompétente.

Damien : Tu n’es pas la despote de SynerJ Health. (rires)

Claire : Je suis assez sévère. (rires)

Damien : La raison pour laquelle je voulais faire cette interview, c’est parce qu’il y a encore beaucoup de personnes quand ils me contactent par rapport aux produits, au SynerBoost, à l’algue de Klamath, dans leur tête ils pensent que c’est encore Jacques Prunier qui est à la tête de SynerJ. C’est pas le cas, c’est pour ça que je voulais t’en parler.

Transition et rôles au sein de l’entreprise

Damien : Comment ça s’est passé cette transition ?

Claire : Ça s’est passé officiellement et c’est également quelque chose. Moi je suis la compagne de Jacques Prunier, je pense que c’est important de le dire. Nous nous sommes rencontrés à l’occasion de nos activités, je suis biologiste au départ de formation, nous nous sommes rencontrés à l’occasion d’entreprises et ensemble nous avons créé des entreprises.

Nous avions créé une entreprise qui était dans la recherche d’audiologie, mais on était dans la recherche comme je viens de le dire, donc c’est quelque chose de terrible.

On n’avait pas tout à fait estimé ce que ça voulait dire que d’être à la tête d’une entreprise de recherche, ça voulait dire avoir 10 ans de financement avant d’avoir la possibilité de sortir un produit.

Tout ça pour dire que chez SynerJ, je suis officiellement citée depuis 2016, mais que toute l’histoire de SynerJ, bien entendu, je la connais, je l’ai vécue de l’intérieur, de l’extérieur et de tout. Donc je ne débarque pas comme ça, comme une fleur sur le gâteau.

Me concernant, à part cette formation de biologie et à l’occasion des entreprises que nous avions créées, j’ai eu à un moment besoin, envie de fortifier ce que j’avais pu apprendre sur le tas.

Et donc j’ai fait une double formation et j’ai un master de direction d’entreprise. Voilà ce qui explique aussi que lorsque l’entreprise SynerJ a pris de l’ampleur, qu’elle s’est structurée, et bien, fort naturellement, on va dire, et bien on m’a dit : “tiens, prends les éléments”.

Puisque en plus, ce n’est pas du tout la force de Jacques, je tiens à le dire, c’est quelqu’un qui est extrêmement créatif, c’est quelqu’un qui va toujours essayer d’aller de l’avant et de sortir des produits qui ont une efficacité, qui ont une spécificité, mais tout ce qui est, si je puis dire, l’administration, la structure, ce n’est pas franchement son fort.

Donc il faut qu’il s’appuie sur quelqu’un, et tant qu’à faire, s’il s’appuie sur quelqu’un en qui il a confiance, c’est mieux.

Damien : J’avoue, biologiste et en plus formation de directrice, c’est un profil idéal, pour SynerJ Health.

Claire : Donc chez SynerJ, en fait, aujourd’hui, mon rôle, il est de former les conseillers qui sont chez nous, puisque donc, avec mes compétences en biologie, je connais quand même bien les produits, et donc je suis à même de former les personnes, et puis de répondre aussi à certains clients en direct, puisque ça arrive d’être pris directement, et puis je m’occupe également de ces missions de direction.

Mais nous sommes également appuyés par un cabinet conseil pour tout ce qui est fiscal, tout ce qui n’est pas de mon domaine, ça, je crois qu’il faut des gens spécialisés dans tous ces domaines-là, et là, ce n’est pas moi. Voilà mon rôle.

Alors au niveau des produits, je m’occupe de tout ce qui est le sourcing, de tout ce qui est l’enregistrement des produits et les contacts manufacturiers. Donc j’encadre un petit peu tout ça. J’ai un rôle assez rébarbatif en fait pour les autres, puisque je m’occupe de tout ce qui est un peu casse-pied, de tout ce qui est étiquetage, autorisation, interdiction.

Damien : Je comprends bien, mais du coup, ce n’est pas toi qui t’occupe de créer les nouveaux produits ?

Claire : Non, les produits, c’est toujours Jacques Prunier.

Damien : C’est ça. Donc je pense que les personnes qui nous écoutent seront intéressées de savoir que Jacques est encore en…

Claire : Absolument, c’est très important. Et je pense que même lui, ça le libère, parce que c’est ce qu’il aime faire. Et c’est là-dedans qu’il a, je pense, du talent. Sans flagornerie, je pense qu’il a le talent de trouver des choses exceptionnelles, des choses qui n’existent pas ailleurs.

Parce que ça, c’est vraiment la base de chez SynerJ. On ne copie pas, on est copié.

Damien : Ça, c’est vrai.

Claire : Mais oui, mais un jour, j’ai expliqué à Jacques, parce que finalement, on ne copiait que ce qui était bien, parce que c’est ma conviction.

Donc je ne dis pas que je suis contente qu’on soit copié, mais voilà, il faut le prendre comme ça. Et c’est la raison aussi pourquoi on est toujours en avance et qu’on va peut-être faire des modifications de formules, des adaptations.

Claire : Alors ces adaptations, elles sont liées au fait qu’il y a de nouveaux ingrédients autorisés ou de nouvelles publications scientifiques qui sont disponibles. Donc on va évidemment se servir de cela. Ça, c’est vraiment le travail de Jacques. Mais c’est aussi pour essayer toujours d’avoir un temps d’avance.

Innovations et produits SynerJ Health

Damien : Super impeccable. C’est super rassurant. Merci beaucoup pour toutes ces informations. Je voulais savoir justement à propos de Jacques, il participe encore, il fait encore des conférences aussi. J’avais noté qu’il y avait des salons et des conférences qui étaient programmées pour Rennes, Angers, en Normandie, à Brom.

Claire : Voilà, à partir de fin février, mi-février. Donc on va également dans les salons où là, on y va pour la raison de s’ouvrir un petit peu. Je crois qu’on évoquera peut-être le sujet tout à l’heure aussi sur l’avenir de SynerJ.

Donc, et c’est important aussi pour nous, parce que du coup, dans un salon, on est en direct avec des clients. Et ce qui n’est pas au départ notre première mission, puisque on travaille beaucoup avec des conseillers de terrain.

Et du coup, c’est intéressant parce qu’on se rend compte de certaines préoccupations, on se rend compte de certains discours qui sont peut-être trop techniques et qu’il faut donc peut-être aménager.

Et c’est toujours intéressant d’avoir un retour client direct. Donc, et autour de ces salons, on va essayer, bien sûr, de s’étoffer et d’aller faire des conférences privées ou là, à l’initiative d’un mandataire et sur invitation.

Damien : Super. Du coup, ça se crée un calendrier. Les personnes qui pourraient justement en parler un calendrier, les personnes qui seraient intéressées pour assister à ces salons ou à ces conférences.

Claire : C’est très facile. Site SynerJ et il y a un calendrier des événements et vous avez l’ensemble des informations, les lieux, les salles, parfois des invitations quand il y a des invitations pour aller sur les salons.

Si les organisateurs de salons nous donnent des invitations, bien entendu qu’on les met à disposition. Certains font le choix de faire payer l’entrée parce qu’évidemment, ils se constituent des listes. Donc ça, c’est pas nous. Par contre, les conférences privées sont sur invitation. Il faut contacter directement le conseiller sur place.

Donc, il y a son contact. C’est assez simple. En tout cas, en ce qui concerne les salons, les conférences publiques qui seront disponibles, je les partage aussi sur ma newsletter. Donc dans la description pour les personnes qui sont intéressées pour pouvoir être averties.

Damien : Tu avais mentionné l’avenir de SynerJ Health.

Claire : Alors l’avenir de SynerJ, je pense qu’il ne… Ce qui est certain, c’est qu’au niveau de la… On va dire la ligne des produits, ça restera toujours la même chose. C’est à dire qu’on va… On conserve cette volonté que j’ai déjà expliquée, c’est à dire des produits uniques, des produits performants, des produits efficaces.

Ça paraît peut-être bête de le dire, mais c’est pas tout le temps. Donc ça fait vraiment partie du leitmotiv, des actifs, des formules très titrées.

Et puis alors l’avenir commercial, et bien il est de se dire que le monde aujourd’hui a changé. Si on se retourne un peu en arrière, on sort tous, le monde, on sort quand même d’une période un peu difficile avec les crises sanitaires. Il serait vain de le nier.

Donc il faut aussi qu’on s’ouvre vers d’autres. Donc c’est aussi la raison pour laquelle on va sur des salons. On va s’ouvrir un peu plus également à du client en direct.

On va essayer d’ouvrir le champ des possibles, parce qu’on en a besoin. Et puis la vente directe, telle qu’elle existait il y a 20 ans, elle a également évolué. Donc il faut aussi évoluer dans ce sens. La vie c’est l’évolution. Donc il faut savoir s’adapter.

Adaptations et améliorations produits

Damien : Super. Il y a trois points que je voudrais aborder par rapport à cette évolution que j’ai déjà remarqué. Donc déjà on a eu un changement récent sur l’Alpha One que j’ai trouvé super. Si tu pouvais en parler un petit peu.

Claire : Alors l’Alpha One c’est notre algue, notre Aphanizomenon du lac Klamath. Et en fait il y a un nouveau procédé de séchage qui est breveté bien entendu. Ce nouveau procédé il a deux avantages principaux.

Premièrement sur la densité du produit et sur sa concentration. Donc comme c’est un produit naturel, de saison en saison, d’année en année, ce produit n’est récolté qu’une fois par an, mais d’année en année il n’était pas forcément toujours de la même couleur, de la même densité.

Donc parfois on préconise d’en consommer un gramme. Et ce gramme il pouvait être présenté par plus ou moins, parce qu’un élément naturel il fluctue. Un arbre fruitier il donne une année des petits fruits, puis une année d’après des gros fruits.

Ne sont reproductibles que les processus industriels. Tout ce qui est naturel il y a une certaine latitude.

Et là en fait par ce procédé, ils ont réussi à vraiment donner une permanence. Ce qui fait que le produit sera plus concentré. Des actifs évidemment encore plus purs et seront représentés par moins de poudre, donc trois gélules au lieu de quatre.

Et pour les personnes qui prennent du vrac, c’est-à-dire la poudre directement diluée dans leurs aliments, nous allons pouvoir, c’est un petit truc, mais ça nous avait été réclamé par un certain client, il y aura des petites dosettes dorénavant qui vont permettre d’avoir un gramme de manière certaine.

Et tant que c’était fluctuant, comme je m’occupe des dossiers avec la DGCCRF, on ne pouvait pas dire que… il fallait peser. Il aurait fallu fournir des balances à chaque client. C’est intéressant sur la teneur du produit.

Damien : Ça c’est super, j’ai plusieurs clients qui m’avaient demandé pour quoi vous ne mettez pas une dosette, c’est pas pratique. Donc là je suis vraiment content. Et trois gélules de quatre aussi, comme beaucoup de personnes disent, ça fait beaucoup de gélules à force, ben non, on réduit de…

Claire : Oui, c’est toujours un avantage. C’est toujours un avantage pour le client. Et en même temps, on y gagne dans la densité du produit et dans son efficacité. Donc ça ne présente que des avantages.

Damien : Excellent, c’est rassurant de savoir qu’on est toujours à la frontière de l’innovation.

Claire : On est toujours complètement… Chez SynerJ, on travaille avec le récolteur historique et celui qui récolte plus de la moitié de ce qui est récolté sur le lac. Grâce notamment à SynerJ. Et aux clients de SynerJ. Donc c’est important. On est vraiment le top, le leader.

Damien : Excellent. Est-ce qu’on… Bon, alors on a bien établi le fait que Jacques Prunier est toujours en recherche, est toujours en train de développer de nouvelles choses. Est-ce que tu as le droit de partager deux, trois choses à ce sujet ou pas ?

Claire : Alors, je ne vais pas partager les molécules. Je vais vous dire qu’en effet, il y a trois produits qui sont déposés. Alors il faut attendre. Il y a des obligations d’attendre qu’un certain nombre de choses soient faites. Et qu’ils vont donc ensuite partir à la production. Donc c’est quelque chose qui sera dans, on va dire, j’espère dans le premier semestre.

Damien : Excellent. Sans trop insister, on a les thèmes ? On a les thèmes des produits ?

Claire : L’immunité, la jeunesse, la régénération. De toute façon, c’est sur nos thèmes.

Damien : Ouais, excellent.

Impact économique et gestion des coûts

Damien : Bon, génial. Troisième question aussi. C’est vrai que, année après année, en fonction de l’inflation, SynerJ Health, des fois, est obligé de se caler parce que c’est vrai que beaucoup des matières premières augmentent partout dans l’ensemble du monde. Et c’est vrai que SynerJ Health source dans le monde entier les produits de meilleure qualité. Donc, est-ce qu’on peut s’attendre à une augmentation de prix cette année ?

Claire : Non, l’augmentation, elle n’est pas prévue. Par contre, je ne peux pas m’engager à ce qu’il n’y en ait pas. Bien sûr. Parce que, par exemple, on a des produits ne serait-ce que l’aigue.

Imaginons, c’est quand même un ingrédient majeur pour nous. On ne sait pas, est-ce que des droits de douanes vont arriver ? Est-ce que des choses, des taxes vont arriver ? Tous les gouvernements sont extrêmement créatifs en matière de taxes.

Si on a ça, malheureusement, on sera obligé. Mais aujourd’hui, on est en fin janvier, fin début février, plus exactement même, et on n’a pas augmenté nos prix.

On n’a pas l’intention de les augmenter. Voilà. Et on fera tout pour ne pas les augmenter.

Mais les coûts de production, les coûts de transport ont augmenté de plus de 8 à 9% sur les, par exemple, UPS, toutes ces choses. Parce que tout ça vient par des transports, évidemment, assez rapides et bien ciblés. Et là, on est à 8, 10% d’augmentation des coûts de transport. Donc, il y a un moment où…

Damien : Ça fait de nombreuses années, ça fait maintenant, depuis 2013, que je suis conseiller des produits. Et c’est vrai que j’ai remarqué que SynerJ Health faisait toujours son effort de garder les prix le plus bas possible, en dépit de ce que certaines personnes peuvent dire, c’est cher, c’est cher.

Claire : Mais oui, mais la qualité des produits, elle est optimale.

Alors, la qualité des produits, la rareté des ingrédients, ça, c’est important, puisque j’ai la chance de parler aux clients partant d’intermédiaires. Il faut bien se rendre compte qu’à partir du moment où on est comme nous, c’est-à-dire on cible un ingrédient qui est très titré, ce sont des ingrédients rares, ce sont des ingrédients souvent sur lesquels on nous demande d’acheter des lots importants, au-delà de ce dont on aurait besoin.

Donc, tout ça a un coût. Et régulièrement, puisque, comme je le disais tout à l’heure, c’est moi qui suis avec les manufacturiers. Donc, on va nous proposer un autre en nous disant : “Non, mais j’ai celui-ci, par exemple… …celui-là, il est disponible et il vaut deux fois moins cher.”

Envoyez-moi la fiche, on lit la fiche d’analyse, le certificat d’analyse, et ça ne correspond pas à ce qu’on veut. Donc, on le refuse et on repart sur autre. Mais à ce moment-là, avec du délai, avec du coût, avec des quantités, parfois sur certaines choses, il y a des minimums de mise en commande. Voilà, ça aussi joue dans le prix.

Damien : Bien sûr. Ça explique aussi certaines ruptures de stock peut-être que l’on a sur certains produits.

Claire : Absolument, absolument. Tout à fait.

Damien : J’ai remarqué ça aussi depuis de nombreuses années, je travaille avec SynerJ Health, c’est cette volonté de ne pas offrir le produit s’il n’est pas vraiment au maximum de la qualité.

Claire : Et ça, franchement, c’est vraiment une valeur forte de Jacques. Et ça, c’est complètement dans la maison. Toute la famille SynerJ est vraiment sur la même longueur d’onde. Il y a énormément de vendeurs de compléments alimentaires. Donc, si on veut trouver sa place et vraiment être sur l’excellence du produit, eh bien, il faut se distinguer.

Mais c’est vrai que ça a un coût. Très clairement, ça a un coût.

Damien : Moi, en tout cas, c’est vrai que ça me rassure en tant que conseiller de savoir que je propose des produits que je sais de qualité, de plein cœur. Ça nous aide beaucoup.

Formation des conseillers et profils recherchés

Damien : D’ailleurs, ça va être ma prochaine question. J’ai remarqué que SynerJ Health a fait beaucoup d’efforts depuis ces deux dernières années pour vraiment former ses conseillers dès le début.

Claire : C’est gentil, puisque c’est moi qui m’en occupe. Je suis très contente.

Damien : Si tu pouvais en dire un petit peu plus ?

Claire : La formation, elle est de deux types.

Elle est, lorsque c’est possible, en présence. Donc, on organise des sessions de formation. Et à ce moment là, c’est l’équipe SynerJ qui se déplace, qui vient dans les régions. Et on a des petits groupes, des groupes de 7, 8, 10 personnes. Des conseillers, à ce moment là, uniquement des conseillers. Et ça dure un jour, ça dure deux jours.

Damien : J’ai eu le plaisir d’y participer à Paris.

Claire : Voilà, je me souviens très bien.

Bon, c’est vrai qu’on essaye aussi de s’adapter parce que maintenant, les gens ont peut-être moins de temps à consacrer. Donc, on a fait aussi des formats plus courts. On essaye de faire des demi-journées. On est très, très, très ouverts à tout. On s’adapte. Donc ça, on va dire que c’est l’idéal, parce que quand on a une journée ensemble, il y a vraiment beaucoup d’interactions qui se constituent.

Mais on a aussi nécessité et volonté d’être allés sur de la formation à distance. Donc, depuis, on va dire pareil, les années 2020, en réaction, on va dire, au Covid. Et puis après, c’est resté. On a intensifié les webinaires.

Donc, les conseillers ont à leur disposition, sur des thèmes ciblés à chaque fois, trois webinaires par mois. Donc, voilà. Il y en a un qui a eu lieu lundi où on était une quarantaine de personnes. Et là, c’est intéressant. On ne fait aussi que du direct parce que, voilà, souvent, on nous demande du replay, etc. Alors, c’est vrai que ça peut être intéressant, le replay, mais on essaye quand même de garder cette interaction, même s’il y a un écran interposé, il y a des questions, il y a des réponses. Et on favorise ça.

Damien : Super. Génial.

Claire : Dans mon domaine, on va dire, c’est les produits. Et dans le domaine administratif et plus commercial, entre guillemets, gestion des outils, c’est la partie de Pascal qui fait la même chose dans son domaine de compétences. Super impeccable.

Damien : Du coup, quel type de personne pourrait, selon toi, être excellent conseiller ? Quel est le profil des conseillers que tu aimerais ?

Claire : Il n’y a pas. Alors, le profil, il y a évidemment aucune demande de notre part concernant de la formation initiale. C’est à dire qu’on ne va pas recruter avec telle ou telle formation.

En revanche, c’est vrai que le profil, tu as raison de le dire. Il y a un profil de gens, ce sont des gens qui ont envie. Qui ont une certaine ouverture et un certain goût pour le contact, pour l’explication. Pour se former, pour le soin, évidemment par la santé, enfin la santé, plutôt par les soins naturels, par les approches naturelles.

Et puis qui acceptent ou du moins qui ont intégré le fait que c’est aussi un métier, c’est à dire qu’il y a du travail derrière.

Nous, on met à disposition énormément de choses. Toutes ces choses sont mises à disposition, elles sont offertes. Mais bien sûr que c’est à chacun de saisir cela et de consacrer du temps. En revanche, j’ai coutume de dire : “Tous ceux qui travaillent ont du résultat.” Et l’inverse est vrai aussi. Tous ceux qui ne travaillent pas non plus.

Damien : C’est vrai. Oui, mais je l’ai vu.

Claire : Non, mais il n’y a rien de gagné. Il n’y a rien de gagné. On est sérieux. On est un conseiller apprécié. On a ce qu’il faut et SynerJ aidera le conseiller, franchement, parce que nos intérêts sont liés de toute façon. Et puis parce que ça nous plaît d’avoir quelqu’un qui a la chance, l’opportunité de développer son activité.

Les conseillers sont indépendants, les conseillers, c’est leur propre entreprise.

Damien : J’ai eu l’occasion, moi aussi, du coup, de former plusieurs conseillers et assez rapidement, je vois ceux qui vont rester, ceux qui vont pas rester.

Claire : Voilà, voilà, on le sent. Et après, ça peut être des jeunes, ça peut être des plus… Franchement, il n’y a pas de profil. Non, c’est vrai. Il n’y a pas quelqu’un qui va dire, ah bah oui, non, il n’y a pas de critère de sélection pour un autre.

Damien : Non, non, non. Et ça, d’ailleurs, c’est un argument que j’aime bien mettre en avant quand quelqu’un va me voir et me dit : “Moi, je ne suis pas sûr parce que je n’ai pas le background de ça.”

Je dis : “Oui, mais ton background, il est unique. Et du coup, tu vas pouvoir parler à des gens qui te correspondent mieux que moi, je ne pouvoir le faire. Donc c’est pour ça qu’on travaille en équipe.“

Claire : Voilà, et qu’il n’y a pas non plus… le conseiller chez SynerJ, Il démarre avec zéro investissement.

Damien : Oui, mais c’est tout à la différence. Il n’y a pas de stock a poser…

Claire : Oui, mais c’est important. Ça donne la chance aux gens qui ont envie d’aboutir. Et d’ailleurs, il y en a beaucoup qui ont des très belles activités, alors qu’ils n’étaient pas, a priori, pressentis pour le devenir.

Damien : Et ça, pour le répéter une fois de plus, c’est aussi la différence avec les personnes qui confondent notre système avec les pyramides. C’est que dans les systèmes pyramidaux, on paye de l’argent tous les mois ou on a un pack de démarrage ou quoi que ce soit. Ce n’est pas le cas sur SynerJ Health.

Claire : Comme tu dis, c’est zéro investissement. Et d’ailleurs, le système pyramidal est interdit.

Damien : Bien sûr.

Claire : Donc une entreprise française, une entreprise européenne ne peut pas faire du système pyramidal. C’est interdit. C’est aussi simple que ça. Mais c’est vrai que ça existe par rapport à certaines entreprises étrangères, beaucoup des pays de l’Est, beaucoup des États-Unis, évidemment, et où il y a en effet des coûts liés au fait d’être autorisé à parler des produits ou en effet de l’autoship, enfin des obligations d’acheter, des obligations de suivre les formations.

Nous, nous préconisons au conseiller de suivre les formations, mais il n’y a pas d’obligations. En plus, elles sont gratuites. Il n’y a pas de sanctions.

Conclusion et appel à rejoindre SynerJ Health

Damien : Superbe. Écoute Claire on arrive presque à la fin. J’ai juste une dernière question pour les personnes qui n’ont jamais encore, qui découvrent là, qui découvrent SynerJ Health, qui découvrent les produits et qui se disent : “En quoi ces compléments alimentaires pourraient être différents de ce que je peux trouver dans n’importe quelle pharmacie ou magasin bio ?” Donc si toi, justement, qui n’est pas du tout dans le marketing, qui n’est pas du tout, tu vois comment tu comment tu pitcherais le plus rapidement possible en fait nos produits ?

Claire : On vous on garantit des produits qui sont formulés avec des ingrédients actifs visant un bénéfice précis. Encadrés quand même par une structure, puisque chez SynerJ, on a aussi une structure de médecins qui répondent d’ailleurs aux questions des clients si nécessaire.

Donc, c’est important aussi. Donc, il y a une structure technique, si je puis dire, si je peux employer ce terme. Les formules sont faites par des biologistes et sont revérifiées et recontrôlées par un biologiste extérieur à notre entreprise, qui n’est pas participant financièrement.

Chez nous, il n’y a pas d’actionnaire. Les personnes également du comité scientifique ne sont pas actionnaires de l’entreprise, ils sont rémunérés pour leur action, ce qui est quand même un minimum. Mais il n’y a pas d’actionnariat. Il n’y a pas de conflit d’intérêt.

t je dirais : “Écoutez, regardez les témoignages.” On ne sait pas toujours pourquoi ça fonctionne. Ce qu’on sait, c’est qu’on a d’excellents témoignages. À essayer. On ne risque rien à essayer. On n’aura aucun ingrédient nocif. Faites le test.

Damien : Super.

Claire : Claire, merci beaucoup pour ton temps.

Damien : Est-ce que tu aurais un petit dernier mot de la fin ?

Claire : Je ne sais pas. Rejoignez-nous.

Damien : Super. Rejoignez-nous. Si vous voulez en savoir plus sur SynerJ Health, vous n’hésitez pas, vous pouvez me contacter en bas, dans la description. Vous contactez votre conseiller ou vous allez sur le site synerj-health.com si vous n’avez pas de conseiller.

Claire : Exact. Voilà.

Damien : Super, impeccable. Merci de m’avoir donné aussi cette opportunité. Et bonne fin de journée. Et bonne continuation.

Claire : Merci beaucoup, Claire. Au plaisir. Au revoir.

Damien : Au revoir.