5 signes et symptômes indiquant un estomac malade : causes et conseils
Des douleurs après le repas aux nausées inattendues, votre estomac pourrait essayer de vous dire quelque chose. Est-il malade ? Est-ce passager ? Découvrez ce que votre estomac essaie de vous communiquer et comment lui apporter le soulagement qu’il mérite. Table des matières Vous avez des questions à propos des travaux de Jacques Prunier ou vous souhaitez passer commande des produits SynerJ-Health ? En tant que Mandataire SynerJ-Health je suis là pour vous conseiller ! ↬ Contactez moi Comment savoir si votre estomac est malade ? Les symptômes d’un estomac malade nécessitant une attention médicale incluent : Douleurs persistantes dans la région gastrique Sensation constante de lourdeur après les repas Nausées fréquentes sans raison apparente Vomissements inexpliqués Présence de sang dans les vomissements ou les selles Les 5 signes d’un estomac malade à ne pas ignorer 1. Douleurs persistantes dans la région gastrique Les douleurs gastriques sont des douleurs ou des malaises ressentis dans la région supérieure de l’abdomen, juste en dessous des côtes. Ces douleurs peuvent varier en intensité et en durée. Caractéristiques des douleurs gastriques : Peuvent être aiguës ou sourdes. Peuvent survenir après avoir mangé ou à jeun. Souvent associées à d’autres symptômes tels que les brûlures d’estomac, les ballonnements ou les nausées. Les douleurs persistantes dans la région gastrique peuvent indiquer une affection sous-jacente plus grave, telle qu’une gastrite, un ulcère ou une infection par Helicobacter pylori. Si ces douleurs persistent pendant plus d’une semaine ou sont accompagnées d’autres symptômes alarmants, il est essentiel de consulter un médecin. Causes possibles : Infection par Helicobacter pylori. Consommation excessive d’alcool ou d’aliments épicés. Médicaments tels que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Stress ou anxiété. Conseils pour soulager les douleurs gastriques : Évitez les aliments et les boissons qui peuvent irriter l’estomac, comme les aliments épicés, acides ou gras. Mangez de petits repas fréquents plutôt que de gros repas. Limitez la consommation d’alcool et de caféine. Considérez l’utilisation d’antiacides ou d’autres médicaments recommandés par un professionnel de la santé. 2. Sensation constante de lourdeur après les repas La sensation de lourdeur après les repas est un sentiment de sur-plénitude ou de distension dans l’abdomen qui peut survenir même après avoir mangé de petites quantités de nourriture. Cette sensation peut être inconfortable et peut interférer avec les activités quotidiennes. Caractéristiques de la sensation de lourdeur : Peut durer plusieurs heures après avoir mangé. Peut être accompagnée de ballonnements ou de gaz. Souvent ressentie après la consommation d’aliments gras ou lourds. Peut être associée à une digestion lente ou à un retard de vidange gastrique. Causes possibles : Dyspepsie fonctionnelle, une condition où l’estomac ne se vide pas correctement. Syndrome de l’intestin irritable. Gastrite ou inflammation de la paroi de l’estomac. Consommation excessive d’aliments gras ou épicés. Manger trop rapidement ou trop manger en une seule fois. Conseils pour éviter la sensation de lourdeur : Mangez de petits repas plus fréquemment plutôt que de gros repas. Évitez les aliments gras, épicés ou frits. Prenez le temps de manger lentement et de bien mâcher vos aliments. Limitez la consommation de boissons gazeuses. Considérez l’utilisation de probiotiques ou d’enzymes digestives pour aider à la digestion, après consultation avec un professionnel de la santé. 3. Nausées fréquentes sans raison apparente Les nausées sont une sensation désagréable d’inconfort dans l’estomac, souvent accompagnée d’une envie de vomir. Elles peuvent survenir sans raison apparente, même en l’absence de consommation d’aliments ou de boissons spécifiques. Caractéristiques des nausées fréquentes : Peuvent survenir à tout moment de la journée, y compris à jeun. Ne sont pas toujours suivies de vomissements. Peuvent être accompagnées de vertiges ou d’une sensation de faiblesse. Peuvent être exacerbées par certaines odeurs ou stimuli. Causes possibles : Gastrite ou inflammation de la paroi de l’estomac. Infection par Helicobacter pylori. Reflux gastro-œsophagien. Intolérances ou allergies alimentaires. Médicaments ou traitements médicaux. Stress ou anxiété. Conseils pour gérer les nausées fréquentes : Évitez les aliments ou les boissons qui peuvent déclencher des nausées, comme les aliments gras, épicés ou trop sucrés. Mangez de petits repas fréquemment et évitez de trop manger. Buvez beaucoup d’eau et restez hydraté. Évitez les activités intenses immédiatement après avoir mangé. Si les nausées sont liées au stress, envisagez des techniques de relaxation comme la méditation ou la respiration profonde. Consultez un médecin si les nausées persistent ou si elles sont accompagnées d’autres symptômes inquiétants. 4. Vomissements inexpliqués Les vomissements sont l’expulsion forcée du contenu de l’estomac à travers la bouche. Ils peuvent survenir sans avertissement préalable ou être précédés de nausées. Les vomissements inexpliqués peuvent être préoccupants, surtout s’ils se produisent fréquemment ou sans raison apparente. Caractéristiques des vomissements inexpliqués : Peuvent survenir soudainement, sans signes avant-coureurs. Ne sont pas toujours liés à la consommation d’aliments ou de boissons. Peuvent être accompagnés de douleurs abdominales ou de maux de tête. La fréquence et la gravité peuvent varier d’une personne à l’autre. Causes possibles : Gastrite ou ulcères d’estomac. Infections gastro-intestinales. Intoxication alimentaire. Grossesse (dans le cas des femmes). Médicaments ou traitements médicaux. Migraines ou maux de tête sévères. Problèmes de l’oreille interne, tels que le vertige paroxystique positionnel bénin (VPPB). Conseils pour gérer les vomissements inexpliqués : Reposez-vous et évitez de manger pendant quelques heures après un épisode de vomissement. Buvez de petites quantités d’eau ou de solutions de réhydratation orale pour éviter la déshydratation. Évitez les aliments gras, épicés ou difficiles à digérer pendant quelques jours. Si les vomissements sont fréquents, tenez un journal alimentaire pour identifier d’éventuels déclencheurs. Si les vomissements persistent, sont violents ou sont accompagnés d’autres symptômes graves, consultez un médecin au plus vite. 5. Présence de sang dans les vomissements ou les selles La présence de sang dans les vomissements ou les selles est un symptôme qui ne doit pas être ignoré. Cela peut indiquer une lésion ou une irritation dans le système digestif. Le sang dans les vomissements peut apparaître comme du café moulu, tandis que le sang dans les selles peut être rouge vif ou noirâtre. Caractéristiques de la présence de sang dans les vomissements
Liste des aliments qui fermentent dans l’intestin et donnent des gaz
Dernière mise à jour le 18/07/2024 Avez-vous déjà ressenti des ballonnements ou des gaz après un repas ? Ces symptômes désagréables peuvent être le résultat d’aliments qui fermentent dans votre intestin. Dans cet article, nous découvrez la liste des aliments qui fermentent dans l’intestin et comment vous pouvez modifier votre alimentation pour améliorer votre confort digestif. Table des matières Vous avez des questions à propos des travaux de Jacques Prunier ou vous souhaitez passer commande des produits SynerJ-Health ? En tant que Mandataire SynerJ-Health je suis là pour vous conseiller ! ↬ Contactez moi Quels sont les aliments qui fermentent dans l’intestin ? Voici le top 9 des types d’aliments fermentescibles qui provoquent des gaz intestinaux : Légumineuses : pois chiches, haricots secs, lentilles, etc. Choux et crucifères : chou vert, chou rouge, chou de Bruxelles, brocoli, chou-fleur, kale, etc. Crudités : légumes et fruits consommés à l’état brut. Pain blanc Produits laitiers contenant du lactose Aliments riches en fructose : miel, fruits séchés, etc. Aliments transformés : charcuteries, snacks emballés, plats préparés, pains et pâtisseries industriels, etc. Aliments riches en fibres insolubles : son de blé, graines de lin, céréales complètes, etc. Aliments contenant des édulcorants artificiels : boissons gazeuses sans sucres, bonbons sans sucres, chewing-gums sans sucre, etc. Examinons chacun de ces types d’aliments en détail : 1. Les légumineuses Les légumineuses sont connues pour leur richesse en fibres insolubles. Ces fibres sont bénéfiques pour le transit intestinal, mais lorsqu’elles sont consommées en excès, elles peuvent être mal tolérées. Le processus de fermentation se produit lorsque ces fibres insolubles sont décomposées par les bactéries de notre intestin. Il est recommandé d’intégrer progressivement les légumineuses dans l’alimentation afin de permettre à l’organisme de s’adapter à leur digestion. 2. Les choux Les choux, tout comme d’autres crucifères tels que le brocoli et le chou-fleur, font parti des légumes qui fermentent dans l’intestin. Ils sont connus pour causer des ballonnements et des gaz. Cela est dû à leur teneur élevée en raffinose, un type de sucre que le corps humain a du mal à digérer. Lorsque le raffinose atteint l’intestin, il est fermenté par les bactéries intestinales, ce qui produit du gaz et peut entraîner des ballonnements. Les choux sont aussi riches en fibres insolubles, qui peuvent également augmenter la production de gaz lorsqu’elles sont décomposées dans l’intestin. Il est donc recommandé de consommer les choux et autres légumes crucifères avec modération pour les personnes ayant un intestin sensible. 3. Les crudités Les crudités, qui comprennent une variété de légumes et de fruits consommés à l’état brut, peuvent contribuer à la fermentation intestinale en raison de leur teneur élevée en fibres. Mais certaines fibres cependant ne sont pas entièrement décomposées par notre système digestif et atteignent le côlon intactes. Là, elles sont fermentées par les bactéries intestinales, ce qui peut produire des gaz et causer des ballonnements. Les crudités contiennent aussi souvent des sucres complexes, comme le raffinose et la stachyose, qui peuvent également être fermentés dans l’intestin, augmentant ainsi la production de gaz. 4. Le pain blanc Le pain blanc, fabriqué à partir de farine de blé raffinée, est un aliment courant dans de nombreux régimes alimentaires. Mais sa consommation peut avoir un impact sur la digestion et la fermentation intestinale. La farine de blé raffinée utilisée pour fabriquer le pain blanc a subi un processus d’élimination du son et du germe, ce qui réduit considérablement sa teneur en fibres. Les fibres sont essentielles pour la santé intestinale car elles ralentissent le processus de digestion, favorisent la satiété et nourrissent les bactéries intestinales bénéfiques. En raison de sa faible teneur en fibres, le pain blanc est rapidement décomposé dans l’intestin, ce qui peut entraîner une augmentation rapide de la glycémie. Comme il est rapidement digéré, il peut passer rapidement dans le côlon où il peut être fermenté par les bactéries intestinales, produisant des gaz intestinaux. Des alternatives plus riches en fibres, comme le pain complet ou le pain aux céréales, sont conseillés pour une meilleure santé intestinale. 5. Les produits laitiers Les produits laitiers, en particulier ceux qui contiennent du lactose, peuvent jouer un rôle significatif dans la fermentation intestinale, en particulier chez les personnes intolérantes au lactose. L’intolérance au lactose est une condition dans laquelle le corps est incapable de digérer correctement le lactose, un sucre présent dans le lait et les produits laitiers, du fait d’un manque d’enzyme lactase dans le système digestif. Lorsque le lactose non digéré atteint le côlon, il est fermenté par les bactéries intestinales, ce qui peut produire des gaz, provoquer des ballonnements et causer d’autres symptômes inconfortables. 6. Les aliments riches en fructose Le fructose est un type de sucre simple que l’on trouve naturellement dans de nombreux fruits et légumes, ainsi que dans certains types de sucre ajouté comme le sirop de maïs. Bien que le fructose soit généralement bien toléré en quantités modérées, une consommation excessive peut poser des problèmes, en particulier pour les personnes atteintes de malabsorption du fructose. Cette condition se produit lorsque le corps est incapable d’absorber correctement le fructose dans l’intestin grêle, ce qui entraîne son passage dans le côlon où il est fermenté par les bactéries intestinales. 7. Les aliments transformés Les plats préparés et la charcuterie, qui font partie de la catégorie des aliments transformés, peuvent avoir un impact significatif sur la digestion, la fermentation intestinale et la production de gaz. Ces aliments sont souvent riches en graisses et en sel, mais pauvres en fibres, ce qui peut perturber l’équilibre de la flore intestinale et ralentir le transit intestinal. De plus, ils contiennent souvent des additifs alimentaires, tels que les émulsifiants et les conservateurs, qui peuvent altérer la composition de la microbiote intestinal et favoriser la fermentation. 8. Les aliments riches en fibres insolubles Les fibres insolubles, présentes en abondance dans les aliments tels que les grains entiers, les légumes et les fruits, jouent un rôle crucial dans la santé digestive. Elles ajoutent du volume aux selles et facilitent leur passage à travers le système digestif,
Comment utiliser l’homéopathie pour nettoyer les intestins ?
Dernière mise à jour le 23/07/2024 L’homéopathie, une pratique médicale alternative, a été utilisée pour traiter une variété de troubles de santé, y compris les problèmes digestifs. Que vous soyez à la recherche d’un désinfectant intestinal homéopathique ou un anti-inflammatoire intestinal homéopathique, cet article vous fournira des informations précieuses. Découvrez comment améliorer votre santé intestinale, tout en douceur ! Table des matières Vous avez des questions à propos des travaux de Jacques Prunier ou vous souhaitez passer commande des produits SynerJ-Health ? En tant que Mandataire SynerJ-Health je suis là pour vous conseiller ! ↬ Contactez moi Comment utiliser l’homéopathie pour nettoyer les intestins ? Pour utiliser l’homéopathie pour nettoyer les intestins, prenez des remèdes tels que Asa foetida pour les ballonnements, Nux Vomica pour les maux de ventre, et Lycopodium pour les éructations. Consultez un homéopathe pour un traitement personnalisé. Traitements homéopathiques courant pour réguler la digestion Pour réguler ou nettoyer les intestins et autres troubles digestifs avec l’homéopathie, voici les traitements les plus utilisés : Ballonnements : Asa foetida 10 DH : 2 granules trois fois par jour si vous ressentez des ballonnements remontant, une sensation de poussée dans la poitrine et des gaz malodorants après les repas Carbo vegetabilis 4 CH China 5 CH Kalium carbonicum 5 CH Maux de ventre : Aconitum napellus 7 CH : 3 granules trois fois par jour pendant un mois comme traitement de fond Colocynthis 5 CH : 3 granules, trois fois par jour pendant un mois comme traitement de fond pour le Syndrôme de l’Intestin Irritable (SII). Nux Vomica 7 CH : 5 granules matin et soir, particulièrement après un repas lourd) Chamomilla 9 CH Colocynthis 5 CH Magnesia phosphorica 5 CH Dioscorea 5 CH Maux de ventre avec spasmes : Chamomilla vulgaris 7 CH : 5 granules matin et soir Colocynthis 7 CH : 5 granules matin et soir Cuprum metallicum 7 CH : 5 granules matin et soir Magnesia carbonica 7 CH : 5 granules matin et soir Diarrhées : Ipeca 7 CH : 2 granules cinq fois par jour pendant 5 jours Aloe 5 CH Chelidonium 4 CH Natrum sulfuricum 5 CH Podophyllum 5 CH Éructations : Nux vomica 10 DH : 3 granules après le repas si l’éructation est associée à un ballonnement stomacal Lycopodium 8 DH : 5 granules matin et soir jusqu’à ce que les éructations provoquées par une accumulation de gaz dans le tube digestif soient apaisées Comment vider son ventre des gaz avec l’homéopathie ? Pour se débarrasser des gaz intestinaux rapidement avec l’homéopathie, voici quelques remèdes : Asa foetida 4 CH pour les gonflements abdominaux et gaz malodorants. China rubra 8 DH si les gaz ne soulagent pas les ballonnements. Carbo vegetalis 7 CH pour les ballonnements accompagnés de rots et flatulences. Kalium carbonicum 5 CH pour les ballonnements et gaz en début de repas. Lycopodium 5 CH pour les ballonnements après avoir mangé peu. Nux Vomica pour faciliter la digestion après des excès alimentaires. Des remèdes naturels comme le fenouil, le cumin et la coriandre peuvent aussi aider à réduire les flatulences. Sources : Ooreka, Pharmacie Homéopathie et Doctissimo Avertissement : Les remèdes homéopathiques indiqués ici, le sont uniquement à titre indicatif et ne doivent pas être utilisées comme substitut à un avis médical professionnel. L’homéopathie est une pratique médicale complexe qui nécessite une approche personnalisée pour chaque individu. Par conséquent, il est fortement recommandé de consulter un médecin homéopathe qualifié pour obtenir des conseils sur le traitement approprié et la posologie correcte pour votre situation spécifique. Ne commencez, n’arrêtez, ni ne modifiez aucun traitement homéopathique sans l’avis d’un professionnel de la santé. Comment intégrer l’homéopathie dans votre routine de santé intestinale Consultez un médecin homéopathe avant tout L’homéopathie étant une pratique individualisée, chaque traitement est donc adapté à chaque individu en fonction de ses symptômes spécifiques et de son état de santé général. Il est donc recommandé de consulter un professionnel de l’homéopathie pour obtenir un traitement adapté à vos besoins spécifiques. Les bonnes pratiques pour une santé intestinale optimale Les bonnes pratiques pour une santé intestinale optimale : Une alimentation équilibrée, riche en fruits, légumes et grains entiers S’assurer une hydratation adéquate Pratiquer une activité physique régulière Avoir un sommeil suffisant Consommer des probiotiques Éviter les aliments qui peuvent provoquer des gaz et un ventre gonflé, tels que les légumineuses, le chou et certains fruits. Les compléments alimentaires pour nettoyer les intestins En plus de l’homéopathie, il existe d’autres solutions douces pour soutenir la santé intestinale. Totum et SynerPeps, proposés par SynerJ-Health, sont deux exemples de compléments alimentaires qui peuvent aider à nettoyer les intestins et réguler les troubles digestifs en douceur : Totum est un complément alimentaire à base d’enzymes digestives. Il a été conçu pour soutenir le processus de digestion et aider à décomposer les aliments, facilitant ainsi leur passage à travers le système digestif. Cela peut aider à réduire les ballonnements, les gaz et autres symptômes inconfortables associés aux troubles digestifs. ↬ Totum | Enzymes digestives contre prise de poids, ventre gonflé et fatigue SynerPeps est un extrait de pépins de pamplemousse qui possède des propriétés antimicrobiennes. Il peut aider à équilibrer la flore intestinale en éliminant les bactéries nuisibles, tout en laissant les bactéries bénéfiques intactes. Cela peut aider à prévenir les déséquilibres de la flore intestinale qui peuvent contribuer aux troubles digestifs. ↬ SynerPeps | Extrait de Pépins de Pamplemousse Ces compléments alimentaires peuvent être une excellente addition à votre routine de santé intestinale, en complément d’un traitement homéopathique. Questions Fréquentes sur l’homéopathie pour réguler les intestins Comment désenflammer l’intestin avec l’homéopathie ? Pour apaiser l’inflammation intestinale avec l’homéopathie, on peut envisager des remèdes tels que China rubra et Ignatia amara. En prenant 5 granules de China rubra 9 CH après chaque repas, cela peut aider à gérer les ballonnements. De plus, Ignatia amara 9 CH peut être utile, avec une dose de 5 granules à prendre selon les besoins, en particulier si les douleurs sont déclenchées par un stress émotionnel. Il
Comment utiliser l’extrait de pépins de pamplemousse | Guide Complet
L’extrait de pépins de pamplemousse (EPP), est un outil polyvalent pour votre bien-être: Apprenez à utiliser l’EPP de manière efficace et sécuritaire, que ce soit pour stimuler votre système immunitaire, traiter des affections cutanées ou améliorer votre hygiène bucco-dentaire. Table des matières Vous avez des questions à propos des travaux de Jacques Prunier ou vous souhaitez passer commande des produits SynerJ-Health ? En tant que Mandataire SynerJ-Health je suis là pour vous conseiller ! ↬ Contactez moi Quand prendre l’extrait de pépins de pamplemousse ? Dans une optique de prévention : une prise quotidienne, dosée de 15 à 30 gouttes selon la teneur en concentration. En période hivernale : son utilisation peut être bénéfique pour renforcer naturellement les défenses de l’organisme. 10 à 50 gouttes selon l’âge et la fragilité de l’individu, 2 à 3 fois / jour Rappelez-vous, l’EPP peut être mélangé à de l’eau, du jus, du yaourt ou même de la soupe pour faciliter la prise, en particulier pour les enfants. Malgré l’absence de consignes officielles quant à la quantité d’EPP à consommer, voici une moyenne des recommandations courantes partagées par Doctonat en fonction de l’âge de l’individu : Pour les nourrissons Si vous cherchez à prévenir les infections communes de l’hiver ou à stimuler les défenses de votre bébé : Pour ceux de moins de 1 an : donnez-leur 1 goutte par jour Pour ceux âgés de 1 à 2 ans : donnez 1 goutte, deux fois chaque jour Pour ceux âgés de 2 à 3 ans : donnez 1 goutte, trois fois par jour En cas de rhume ou d’une autre infection, le dosage peut être augmenté comme suit : Moins de 1 an : 1 goutte, deux fois par jour De 1 à 2 ans : 2 gouttes, deux fois par jour De 2 à 3 ans : 2 gouttes, trois fois par jour Pour les enfants De 3 à 6 ans : pour la prévention, administrez 1 goutte par année d’âge (par exemple, un enfant de 6 ans devrait recevoir 6 gouttes par jour, divisées en deux prises). Pour un traitement, vous pouvez augmenter à 2 gouttes par année d’âge. De 6 à 12 ans : en prévention, donnez 10 gouttes une fois par jour. Pour le traitement, la dose peut être augmentée à 10 gouttes deux fois par jour. Pour les adultes La recommandation générale est de 10 à 30 gouttes, de 1 à 3 fois par jour, en fonction de vos besoins, que vous cherchiez à prévenir ou à traiter. Application topique Outre l’ingestion orale, l’EPP peut également être utilisé pour des applications externes. Il peut être dilué dans de l’eau et utilisé comme une solution pour nettoyer la peau, aider à traiter les affections cutanées, telles que l’acné, les éruptions cutanées ou les infections fongiques. Pour traiter un bouton de fièvre (herpès buccal) : mélangez 6 gouttes d’EPP avec une cuillère à soupe d’huile végétale adaptée à votre peau, et appliquez plusieurs fois par jour en prenant soin de vous laver les mains au préalable. Pour les problèmes de peau comme l’eczéma, diluez 10 gouttes d’EPP dans un bouchon d’huile végétale et massez la zone concernée. Pour les maux de gorge, les infections dentaires, la mauvaise haleine ou les aphtes, mélangez 5 à 10 gouttes d’EPP dans un bouchon d’eau et gargarisez-vous. Pour un bonus d’hygiène dentaire, mettez 2 gouttes sur votre brosse à dents avant de vous brosser les dents. Comment utiliser l’extrait de pépins de pamplemousse pour traiter une mycose ? Pour traiter une mycose quelconque (ongle, pieds, vagin, etc.) avec l’extrait de pépins de pamplemousse (EPP) : Diluez toujours l’EPP. Appliquez-le localement sur les infections cutanées (peau, ongles, etc.) ou ingérez-le pour les infections internes (candidose). Continuez le traitement jusqu’à la résolution complète de l’infection. N’utilisez jamais l’EPP pur sur les muqueuses (vagin). Maintenez une bonne hygiène pour prévenir la propagation de l’infection. Consultez un professionnel de la santé en cas d’infection grave ou persistante. Comment faire une cure d’extrait de pépins de pamplemousse ? Pour une cure d’extrait de pépins de pamplemousse (EPP), prenez-le 1 à 2 fois par jour pour renforcer l’immunité, et jusqu’à 3 fois en cas de symptômes hivernaux. Une cure dure de 3 semaines à un mois. Respectez une pause de quelques semaines entre deux cures. La naturopathe Julia Monnier nous explique plus précisément que des cures d’EPP, d’une durée de trois semaines à un mois, peuvent être effectuées tout au long de l’année selon les besoins. Ces cures peuvent être utilisées à des fins préventives, comme la préparation pour la saison hivernale, grâce à la vitamine C et aux antioxydants contenus dans l’EPP. Elles peuvent également être utilisées de manière thérapeutique pour traiter les symptômes d’un rhume ou d’une gorge enrouée. L’EPP est surtout utile pour combattre les infections virales et bactériennes, en particulier celles qui affectent les voies respiratoires. Il peut également aider à rééquilibrer la flore intestinale et à combattre les infections fongiques digestives. De plus, grâce à sa teneur en vitamines C et E et en antioxydants, l’EPP peut aider à combattre la fatigue saisonnière et à fournir un coup de pouce énergétique. Il est important de respecter la durée d’une cure d’EPP. Elle ne doit pas dépasser un mois, et si vous envisagez de faire une deuxième cure dans l’année, il est recommandé d’attendre quelques semaines entre les deux. Par exemple, vous pourriez faire une première cure en octobre, puis une seconde en janvier si nécessaire. Cela permet d’éviter que le corps ne s’habitue à l’EPP et de minimiser le risque de réactions indésirables, car chaque individu réagit différemment. ↬ EPP | Extrait de Pépins de Pamplemousse Questions Fréquentes sur l’histoire de l’Extrait de Pépins de Pamplemousse Est-ce que l’extrait de pépins de pamplemousse est anti-inflammatoire? Oui, l’extrait de pépin de pamplemousse possède des propriétés anti-inflammatoires. Sa vitamine C et ses bioflavonoïdes ont été prouvés comme pouvant réduire l’inflammation et soulager la douleur associée à diverses affections : arthrite, douleurs musculaires et problèmes de peau, et
L’histoire de l’EPP : Extrait de Pépins de Pamplemousse
L’extrait de pépins de pamplemousse, un produit naturel aux propriétés antimicrobiennes impressionnantes, a parcouru un long chemin depuis sa découverte. Découvrez comment cet extrait, issu d’un fruit autrefois considéré comme “interdit”, est devenu un élément clé dans la lutte contre les maladies et les infections. Table des matières Vous avez des questions à propos des travaux de Jacques Prunier ou vous souhaitez passer commande des produits SynerJ-Health ? En tant que Mandataire SynerJ-Health je suis là pour vous conseiller ! ↬ Contactez moi Les premières découvertes sur l’EPP (Extrait de Pépins de Pamplemousse) Le pamplemousse, agrume subtropical, a été surnommé à l’origine le « fruit interdit » de la Barbade, avec la première documentation écrite à son sujet remontant à 1750 par le Révérend Griffith Hughes. Son utilisation thérapeutique remonte pourtant à bien plus longtemps, avec des écrits de l’époque de Confucius vers 500 av. J.-C. attestant de son origine en Asie du Sud-Est. En parallèle, la médecine traditionnelle du Niger valorise depuis longtemps la mastication des pépins de pamplemousse pour combattre divers maux. La légende raconte que c’est le Dr. Jacob Harich, médecin, physicien (Lauréat du prix Einstein), immunologiste et fervent adepte de jardinage, qui remarqua en 1972 que les pépins de pamplemousse pourrissaient plus lentement sur son compost. Il en a déduit qu’ils n’étaient peu ou pas dégradés par les bactéries et a été le premier à vouloir vérifier scientifiquement les propriétés antibactériennes des pépins de pamplemousse. Fasciné par la résistance de ces pépins à la décomposition, il a mené des recherches détaillées qui ont révélé leur puissant potentiel antimicrobien. L’intérêt pour l’EPP s’est intensifié au fil du temps, notamment grâce aux travaux du Dr Allan Sachs qui a largement contribué à sa reconnaissance. Dans son ouvrage de 1997, “The Authoritative Guide to Grapefruit Seed Extract”, (“L’extrait de pépin de pépin de pamplemousse” en Français). le Dr Sachs a décrit l’EPP comme l’antibiotique idéal, soulignant sa capacité à stimuler le système immunitaire tout en épargnant les bactéries bénéfiques. Les utilisations modernes variées de l’Extrait de Pépins de Pamplemousse À partir des années 1980, l’utilisation de l’EPP s’est répandue aux États-Unis, en Scandinavie et en Suisse. Il est notamment utilisé comme conservateur naturel dans les cosmétiques et les produits de soins personnels. Il est choisi pour prolonger la durée de conservation des produits naturels de soins de la peau et d’hygiène personnelle. L’extrait de pépins de pamplemousse est également utilisé dans les produits de nettoyage domestiques grâce à ses propriétés antiseptiques et purifiantes. L’EPP est compatible avec de nombreux matériaux et soluble dans l’eau, l’alcool et les solvants organiques Une généreuse bibliographie scientifique démontre que : L’extrait de pépins de pamplemousse est utilisé dans les produits cosmétiques, les compléments alimentaires et les pesticides en raison de ses propriétés antimicrobiennes sans effets néfastes. L’EPP inhibe la croissance de diverses bactéries, a un effet antibactérien et est employé comme conservateur alimentaire industriel. L’Extrait de Pépins de Pamplemousse dans l’élevage et l’agriculture L’extrait de pépins de pamplemousse (EPP) a été utilisé en agriculture et en élevage pour ses propriétés antimicrobiennes : Dans une étude, l’EPP a été trouvé pour avoir un effet inhibiteur sur les pathogènes aviaires, y compris le virus de la grippe aviaire, le virus de la maladie de Newcastle, le virus de la maladie infectieuse de la bourse, Salmonella Infantis, et Escherichia coli. En agriculture, l’EPP est utilisé pour tuer les bactéries et les champignons, lutter contre la croissance des moisissures, tuer les parasites dans les aliments pour animaux, et conserver la nourriture. L’EPP est utilisé comme un désinfectant naturel fabriqué uniquement à partir de sources naturelles au Japon, surtout après que des chercheurs japonais ont découvert que l’EPP empêche la croissance du norovirus. L’EPP a été trouvé efficace contre les bactéries multirésistantes. Aujourd’hui, face aux préoccupations croissantes concernant la résistance aux antibiotiques, l‘EPP est considéré comme une option de traitement plus sûre et plus viable pour de nombreux problèmes de santé. ↬ Découvrez l’Extrait de Pépins de Pamplemousse Questions Fréquentes sur l’histoire de l’Extrait de Pépins de Pamplemousse Qui a découvert les propriétés antibactériennes des pépins de pamplemousse ? C’est le Dr Jacob Harich, médecin, physicien et immunologiste, qui a été le premier à remarquer que les pépins de pamplemousse pourrissaient plus lentement sur son compost. Il a mené des recherches qui ont révélé leur puissant potentiel antimicrobien. Comment l’extrait de pépins de pamplemousse est-il utilisé dans l’agriculture et l’élevage ? L’extrait de pépins de pamplemousse est utilisé pour tuer les bactéries et les champignons, lutter contre la croissance des moisissures, tuer les parasites dans les aliments pour animaux, et conserver la nourriture. Il a également été trouvé pour avoir un effet inhibiteur sur divers pathogènes aviaires. Quels sont les avantages de l’extrait de pépins de pamplemousse dans les produits cosmétiques et les compléments alimentaires ? L’extrait de pépins de pamplemousse est utilisé dans les produits cosmétiques et les compléments alimentaires en raison de ses propriétés antimicrobiennes. Il est également utilisé comme conservateur naturel pour prolonger la durée de conservation de ces produits. Pourquoi l’extrait de pépins de pamplemousse est-il considéré comme une option de traitement viable face à la résistance aux antibiotiques ? L’extrait de pépins de pamplemousse a été trouvé efficace contre les bactéries multirésistantes. De plus, il stimule le système immunitaire tout en épargnant les bactéries bénéfiques, ce qui en fait une option de traitement plus sûre et plus viable pour de nombreux problèmes de santé.
Les 3 véritables causes de toute maladie
Table des matières Pourquoi manger “équilibré” ne suffit pas ! Vous êtes atteint d’une maladie “incurable”… Votre médecin vous a diagnostiqué une maladie “incurable” et vous suivez un traitement chimique lourd qui vous épuise… Vous souffrez, cette pathologie pourrit votre quotidien et vous regrettez le temps où vous pouviez pleinement profiter de la vie avec ceux que vous aimez… La vie est devenue un combat, mais vous tenez bon malgré tout et vous cherchez à tout prix à vous en sortir ! … ou vous faites tout pour entretenir votre santé ? Vous choisissez vos aliments avec soin, mais doutez parfois de leur qualité Vous exigez le meilleur pour votre corps et vous avez raison… Mais vous êtes bombardé d’informations contradictoires, de propagande industrielle et vous voulez être certain de faire les bons choix pour votre santé ! Je comprends vos angoisses ! Selon l’Institut Curie une personne sur deux sera atteinte d’un cancer au cours de sa vie… Les maladies chroniques sont la 2e cause de décès dans le monde. Chaque année, plus de 30 millions de personnes décèdent d’affections telles que les cardiopathies, les accidents vasculaires cérébraux, les cancers et le diabète… bien souvent avant l’âge de 60 ans ! Le stress quotidien, les soucis relationnels et financiers affaiblissent notre système immunitaire et nous rendent encore plus vulnérables. Vous êtes à la recherche d’un espoir, d’une solution… afin de retrouver votre vitalité ou la préserver de façon optimale, et je suis là pour vous dire que ces solutions existent. Sans fausses promesses. Les 3 véritables causes de toute maladie : La prédisposition génétique Le déséquilibre prononcé de votre physiologie dû aux carences et l’accumulation de toxines L’affaiblissement, dû à l’âge, de votre capacité de régénération Survolons-les rapidement : 1 – La prédisposition génétique Sur laquelle nous ne pouvons pas, à l’heure actuelle, encore véritablement agir. Les thérapies géniques sont prometteuses, mais nous devrons hélas encore patienter avant que le grand public n’y ait accès. Autant patienter de façon pro-active, et nous concentrer sur ce que nous pouvons changer : les deux autres causes suivantes… 2 – La surchage toxique Même si vous avez fait l’effort de manger sainement et d’avoir une hygiène de vie correcte, la pollution ambiante a malheureusement fait son effet. Votre corps s’est alourdi de toxines et de radicaux libres, ce qui, cumulé aux carences typiques de l’alimentation moderne, l’a rendu moins efficace avec l’âge. Chaque jour, même si nous avons un corps en bonne santé, nous nous créons des maladies, des tumeurs, des cancers ! Mais chaque jour, notre corps se rééquilibre de lui-même à la condition de ne pas être trop “encrassé”. S’il est submergé par les toxines, il ne peut plus lutter, et de gros dégâts se révèlent… Voilà pourquoi manger “varié et équilibré” ne suffit malheureusement plus aujourd’hui pour retrouver ou entretenir sa santé ! Heureusement, il existe un moyen très efficace pour inverser ce problème, dont je vais parler plus bas… 3 – Le vieillissement Chaque jour, notre corps produit une moyenne de 25 millions de cellules de réparation afin de soigner les myriades de dommages que nous subissons de manière microscopique, mais aussi pour renouveler nos organes naturellement. Votre coeur par exemple, n’est plus du tout le même qu’il y a 4 mois ! Il a complètement été régénéré entre-temps. Mais ces 25 millions de cellules ne peuvent majoritairement produire qu’un seul type de tissu à la fois, elles ne peuvent pas tout réparer, on dit qu’elles sont unipotentes. Une partie d’entre elles cependant, sont d’un tout autre type, les cellules souches de moelle osseuse, dites pluripotentes. Cela veut dire qu’elles peuvent TOUT FAIRE.Elle peuvent tout réparer dans votre corps. Elles peuvent se transformer en organes, en os, en peau, en neurones, en cellules de l’oeil… en TOUT ! En fonction du besoin. Un corps humain en bonne santé produit chaque jour une moyenne de 3 millions de ces cellules souches de moelle osseuse pluripotentes. Le problème est que, en prenant de l’âge, nous en produisons de moins en moins… ainsi décline notre capacité de régénération… Ce que je désire partager avec vous n’est ni plus ni moins qu’un moyen NATUREL de produire, sans dommage, davantage de ces cellules souches adultes, offrant ainsi à votre organisme le meilleur de la nutrition afin de le stimuler et provoquer sa régénération. La médecine traditionnelle c’est bien, MAIS… Avant toute chose, sachez que vous de devriez JAMAIS arrêter votre traitement sans l’accord de votre thérapeute. La médecine moderne, malgré ses dérapages, a réalisé et réalisera encore de grandes choses. Ne pas compter sur cet allié serait manquer de bon sens ! Mais vous l’avez probablement constaté vous-même : les médications chimiques lourdes, en plus d’être souvent excessivement chères, sont désagréables, bien souvent décevantes, et semblent même parfois empirer votre situation… Voici pourquoi de plus en plus de personnes sensées cherchent à complémenter les solutions de médecine traditionnelle avec des solutions naturelles… Comment aider votre organisme de façon optimale ? Vous comprenez bien que : si votre charge toxique augmente (problème n°2) alors que votre limite de régénération s’amenuise (problème n°3) …il est évident que votre corps ne pourra plus se régénérer correctement et manifestera les faiblesses programmées dans sa génétique (la DMLA est héréditaire par exemple). Imaginez maintenant ce qui arrivera si vous commencez à : détoxifier profondément votre corps stimuler sa faculté de régénération Réponse ? Vous INVERSEREZ simplement le processus de détérioration que subit votre corps ! Ce que je souhaite partager avec vous n’est donc PAS une solution médicale. Il ne s’agit pas d’un médicament, ni d’un traitement et encore moins d’une méthode miracle. Il s’agit d’offrir à votre corps ce qui existe de meilleur pour lui permettre de retrouver son équilibre, et donc, avec le temps, sa santé et sa vitalité. La solution que je vais partager avec vous est 100% NATURELLE et ne provoque aucun effet secondaire désagréable (en fait, elle apporte au contraire souvent de nombreux bienfaits inattendus). Elle bénéficie d’un très haut taux de réussite. Nous considérons comme “réussite” tout mieux-être perceptible. Il serait malhonnête de parler de guérison car bien évidemment, il faut parfois des années pour récupérer une santé perdue depuis longtemps… mais il ne faut en général pas plus de quelques mois, voire quelques semaines selon les cas, pour percevoir un soulagement ! La solution synergique Alpha One et SynerBoost du groupe SynerJ-Health
Enzymes et probotiques bio pour la flore intestinale, d’une importance capitale pour votre santé !
Table des matières Les fondements d’une digestion optimale, expliqués par le Professeur Dubreuil : La perméabilité intestinale C’est un concept pathologique dont on parle de plus en plus. Mais hélas de nombreuses informations tant écrites, que sur internet transmettent des notions inexactes. Qu’est-ce que la perméabilité intestinale ? La muqueuse intestinale fonctionne comme un filtre sélectif. En cas de perméabilité elle fonctionne comme une passoire. Donc des fragments alimentaires non digérés, des résidus bactériens, des spores de champignons et autres peuvent franchir la frontière et pénétrer notre milieu intérieur et agresser notre organisme. Le système immunitaire, omniprésent aux frontières réagit alors brutalement. Les fragments alimentaires encrassent notre organisme ! L’apparition de molécules nouvelles, que nous sommes incapables de digérer, car nous ne possédons pas les enzymes nécessaires pour le faire. (Les enzymes sont des molécules protéiques qui fonctionnent comme des ciseaux spécifiques permettant de couper les grosses molécules en leurs constituants les acides aminés, que nous pouvons absorber). Le meilleur exemple est celui des hybrides de blé, permettant d’augmenter le rendement, apparus à fin des années 60, mais dont le nombre de chromosomes augmenta de 7 à 21 ou 23. De 14 à 16 chromosomes de plus : combien de protéines nouvelles ? Et quelles réactions organiques ? On comprend la résistance des français à consommer des pommes de terre lors de l’introduction par Parmentier. Elle devait être indigeste. Les traitements physiques comme la stérilisation type UHT, modifierait aussi la structure chimique du lait et autres liquides, changeant ainsi leur absorption. Nous parlons bien d’intolérance et non d’allergie alimentaire. L’allergie est une réaction immédiate ou retardée lorsque le sujet qui en souffre est en contact avec l’aliment provocant. L’intolérance alimentaire est l’incapacité à digérer correctement un aliment dont certains fragments trop volumineux « encrassent » l’organisme et provoquent des réactions. Les mystères de notre second cerveau, la solution contre l’autisme et Parkinson ? La flore intestinale, d’une importance cruciale La base de notre flore est acquise lors du passage vaginal au cours de l’accouchement. Son maintien dépend de la qualité et diversité de notre alimentation. Certains OGM, comme cela vient d’être démontré, modifient le patrimoine génétique de notre flore intestinale. La prise d’antibiotiques, soit sur prescription soit « cachée » car introduits dans l’alimentation industrielle, fait émerger des souches pathogènes résistantes déclenchant un certain nombre de pathologies. La prise de molécules modifiant le pH de l’estomac, visant à réduire l’acidité gastrique (très acide afin de fragmenter les aliments et aussi de désinfecter le bol alimentaire), favorise la prolifération de certains germes mais surtout de champignons qui sont très agressifs pour la muqueuse, créant une perméabilité. Il existe dans la gamme Synerj-Health, un produit que j’ai nommé « Le couteau Suisse du digestif ». Il s’agit du Totum qui permet de répondre à la majeure partie des actions nécessaire pour lutter contre l’apparition ou la poursuite de l’existence d’une perméabilité intestinale. TOTUM, le couteau Suisse du digestif Enzymes digestives : elles permettent de digérer ce qui l’a été incomplètement. Il faut savoir que certaines maladies métaboliques comme le diabète s’associent a des déficits enzymatiques. Les gingivopathies chroniques résistantes répondent bien à la prise d’enzymes digestives. Ce sont deux exemples parmi une multitude.L’apport de peptidases permet de décomposer les fragments alimentaires que nous sommes incapables de digérer. L’intolérant qui ne peut contrôler strictement son alimentation hors de chez lui, prendra une sage précaution en consommant du Totum, le jour même et les 3 jours suivants la prise alimentaire à risque. Pré et Probiotiques : Les soucis de restitution d’une flore correcte, à prédominance de fermentation, doit être le souci de santé le plus important. Notre système immunitaire est étroitement dépendant de l’équilibre de notre flore intestinale. Le conflit entre certaines espèces de bactéries et notre système immunitaire est reconnu comme étant à l’origine d’un très grand nombre de maladies. Alpha One (Aphanizomenon Flos Aquae du lac Klamath) : Une récente publication (1) reconnait le rôle de CSMO, comme étant à l’origine des cellules souches intestinales : on doit réparer l’intestin et pour cela il faut un grand nombre de cellules souches. Une cellule intestinale vit entre 5 et 10 jours. Moins en cas de maladie inflammatoire intestinale ou en cas de perméabilité. ↬ Totum | Enzymes digestives contre prise de poids, ventre gonflé et fatigue Changer son alimentation est nécessaire mais pas suffisant. Encore faut-il prendre en charge ce bioréacteur qu’est notre intestin. – Dr. Marc François PAYA Les autres solutions SynerJ-Health pour une digestion complètement optimisée Dans certains cas, la muqueuse intestinale est tellement endommagée (par le stress, la pollution, une mauvaise alimentation, une maladie, etc.), qu’il lui est très difficile de se régénérer d’elle-même. Le SupraStin répond à ce souci en offrant un complexe de 15 ingrédients hautement cicatrisants, ciblant tout particulièrement la paroi intestinale. ↬ SupraStin | Cicatrisant intestinal naturel Une fois la paroi intestinale réparée, il convient de s’occuper de laflore intestinale (aussi appelée microbiote). Sans ces bonnes bactéries nous ne pourrions simplement pas vivre ! Le SynerLife est ainsi proposé en cure, d’une gélule par jour chaque mois pendant 10 jours, afin de repeupler et nourrir le biote intestinal de façon optimale et permettre la bonne assimilation des nutriments par l’organisme. ↬ SynerLife | Probiotique pour intestin irritable Parasites, levures (candida) et autres particules peuvent proliférer même dans un intestin à la paroi relativement saine. L’Extrait de Pépins de Pamplemousse à la rescousse ! Il possède des propriétés antibactériennes, antiseptiques, antifongiques et antivirales. Il est efficace contre environ 800 souches de bactéries ou virus et environ 100 souches de champignons ou levures, ainsi qu’un grand nombre de parasites ↬ Extrait de Pépins de Pamplemousse
Voici comment renforcer son système immunitaire naturellement
Rhume, grippe, rhino-pharyngite, angine virale, bronchite aiguë, bronchiolite, gastro-entérite… ce n’est pas le froid qui provoque ces maladies, mais des virus ! Table des matières Damien Casoni, Mandataire SynerJ-Health, explique en vidéo comment stimuler et renforcer son système immunitaire naturellement : https://youtu.be/yCPYNnbqO-U A vrai dire des études démontrent qu’une exposition régulière au froid augmente l’immunité, et qu’on peut entrainer son système immunitaire à considérer le froid comme étant normal. C’est d’ailleurs tout le principe de la fameuse méthode Wim Hof dont je suis pratiquant (en dilettante hein) et dont vous trouverez en cliquant ici un article en français très bien référencé sur ses nombreux bienfaits. La principale raison pour laquelle nous tombons plus fréquemment malade en hiver, c’est parce que nous passons le plus clair de notre temps dans des espaces clos avec une certaine promiscuité, favorisant ainsi le contact avec des virus. Dans les grandes villes, c’est encore pire, car la pollution augmente le risque de contracter ces maladies virales et l’air clos de nos habitations s’appauvrit en ions négatifs, lesquels sont essentiels à la vie. 3 principaux moyens de contamination 1. Microgoutelettes pleines de virus lorsque quelqu’un éternue 2. Contact physique direct avec une personne contaminée 3. Contact physique direct d’objets contaminés 4 conseils pour protéger son système immunitaire Se laver fréquemment les mains Utiliser des mouchoirs uniques et les jeter immédiatement après usage Limiter les contacts directs avec les objets fréquemment utilisés Aérer son habitation un minimum de 10 minutes par jour Voici comment renforcer son système immunitaire naturellement Pour renforcer votre système immunitaire, privilégiez une alimentation équilibrée, riche en fruits et légumes pour les vitamines et minéraux. Faites de l’exercice régulièrement. Un bon sommeil est essentiel pour régénérer les cellules immunitaires. Évitez le stress prolongé, l’alcool et le tabac. Pour vous accompagner dans une démarche de renforcement au naturel du système immunitaire, le laboratoire SynerJ-Health a mis au point, pour vous : SynerZEN (et SynerOil), à installer au domicile, pour assurer un lavage et une ionisation de l’air intérieur, laquelle manque drastiquement en hiver. ↬ SynerZen | Destructeur d’odeur SynerChrom, car le taux de chrome chute lors d’infections virales. Une recharge en chrome permet une meilleure réponse de l’organisme et une meilleure récupération post infectieuse. ↬ SynerChrom | Faire baisser sa glycémie SynerDol, notre anti-inflammatoire et anti-douleur naturel est riche en vitamine D3, laquelle est essentielle pour le système immunitaire mais manque cruellement en période hivernale ou l’ensoleillement est minimal. ↬ SynerDol | Anti douleur naturel L’Extrait de Pépins de Pamplemousse SynerPeps, est un produit naturel reconnu pour ses propriétés antimicrobiennes. Utilisé en médecine pour stimuler le système immunitaire, en agriculture pour combattre les pathogènes, et en cosmétique comme conservateur naturel. ↬ Extrait de Pépins de Pamplemousse
9 astuces GRATUITES pour retrouver la santé avec ou sans produits SynerJ-Health
Avant toute chose, rappelons une évidence : aucun des conseils cités ci-bas ne peuvent se substituer à un avis ou un traitement médical, qui restera, lorsque c’est nécessaire, le moyen le plus sûr de mettre toutes vos chances de votre côté pour récupérer d’un éventuel problème et retrouver une bonne santé… Table des matières Damien Casoni, Mandataire SynerJ-Health, donne en vidéo 9 astuces gratuites pour retrouver la santé https://youtu.be/_sLELVO6LTg En revanche, tout comme les produits SynerJ-Health de Jacques Prunier, les astuces qui suivent, bien que n’étant pas destinées à “soigner” quelque pathologie, peuvent être des outils efficaces et complémentaires afin d’aider l’organisme à retrouver plus rapidement une physiologie normale et un quotidien plus plaisant. Ensuite, je ne vais pas m’étendre sur les 3 piliers fondamentaux du bien-être que sont : Une alimentation saine et variée (même si hélas cela ne suffit plus aujourd’hui). Un rythme de sommeil de qualité, trop souvent négligé. Un mode de vie actif, bouger chaque jour. Ces 3 éléments constituent une base que rien ne pourra vraiment remplacer. Mais le titre de cet article indique que les astuces qui suivent ne sont “pas banales”. Evidemment, la liste qui suit n’est pas exhaustive, il y a des myriades de choses que chacun peut faire pour prendre son bien-être en main, mais je me suis efforcé ici de présenter des conseils qui ne sont pas si évidents, peu connus, ou que l’on pourrait facilement minimiser quand bien même leurs bienfaits ont été scientifiquement démontrés. Je n’ai pas non plus répété les conseils de mon direct : “Stimuler son système immunitaire – Un hiver sans rhume ? Sans problème !”, qui se veut plus “préventif” en quelque sorte. Les astuces suivantes vous seront surtout utiles lorsque vous voulez récupérer votre niveau de santé initial plus rapidement, car comme vous le verrez, elles pourront aussi vous aider à améliorer aussi bien votre alimentation, votre sommeil que votre niveau d’exercice. Au sommaire : Pratiquez l’écriture expressive Tenez un journal de gratitude Cultivez un optimisme irrationnel, profitez de l’effet Placebo Attention à l’effet Pygmalion Forcez-vous à rire et à sourire Déclenchez chaque jour la Réponse de Relaxation Embrassez le contact physique Engagez vous comme bénévole Adoptez le jeûne intermittent Allez ! On y va ! 1. Pratiquez l’écriture expressive L’écriture expressive, développée par le Dr. James Pennebaker, un psychologue américain, se résume à la consigne suivante : « Pour les jours suivants, vous écrirez un texte sur vos pensées et sentiments les plus profonds se rapportant à une expérience émotionnelle désagréable qui vous a affecté(e) vous et votre vie. Vous pouvez écrire sur le même sujet ou écrire sur une expérience différente chaque jour. Ne vous souciez pas de l’aspect final du texte. » Le journal scientifique Advances in Psychiatric Treatment présentait en 2005 un document détaillé abordant la méthode sous le nom “Les bienfaits émotionnels et physiques de l’écriture expressive” que voici : Améliore le fonctionnement du système immunitaire Réduit la pression artérielle Améliore la fonction respiratoire Améliore les fonctions du foie Moins de jours passés à l’hôpital Améliore le moral Sensation de mieux-être psychologique Impressionnant non ? Voici un article sur Psychologies.com pour vous donner d’autres pistes sur le sujet. Et si vous pouvez lire l’Anglais, le livre-référence “Opening Up by Writing It Down” sur l’écriture expressive par le créateur même de la méthode reste un ouvrage incontournable. 2. Tenez un journal de gratitude Une façon complémentaire d’utiliser le pouvoir insoupçonné de l’écriture et de rédiger chaque jour une liste des choses pour lesquelles nous pouvons être reconnaissant. Cette liste n’a pas besoin d’être spectaculaire, et selon mon expérience, apprendre à apprécier les “petites choses” est là ou réside le miracle. Un article de Positive Psychology détaille les références de 28 bienfaits scientifiquement prouvés de cette méthode. 8 de ces bienfaits concernent la santé et que je vous les résume ici : Améliore la santé physique de façon générale Réduit les symptômes de dépression de 35% pour plusieurs semaines Facilite la guérison de la dépression Réduit la pression artérielle Accélère la récupération après un syndrome coronarien aigu (obstruction d’une ou plusieurs artères coronaires ce qui abouti à un infarctus du myocarde après 6 heures) Améliore le sommeil, lorsque pratiqué avant d’aller se coucher Augmente la fréquence d’exercice physique Aide au sevrage de substances addictives (tabac, alcools, drogues) 3. Cultivez un optimisme irrationnel, employez l’effet Placebo L’effet Placebo est défini comme “un procédé thérapeutique n’ayant pas d’efficacité propre ou spécifique mais agissant sur le patient par des mécanismes psychologique et physiologiques.” Si vous prenez de la vitamine C pour avoir plus d’énergie, ou si en prendre vous empêche de dormir. C’est l’effet placebo. car la vitamine C n’a aucun effet dopant et n’interfère aucunement avec le sommeil. Si vous sentez votre mal de crâne s’évanouir s’amenuiser au bout de dix minutes après avoir pris de l’aspirine, ce n’est pas parce que celle-ci fait déjà son effet… elle est encore en train d’être dissoute dans votre estomac ! C’est là encore l’effet Placebo. Ceci nous fait comprendre que même les procédés prouvés efficaces peuvent aussi provoquer l’effet Placebo. Bien connu et appliqué dans le milieu médical et de la recherche scientifique, l’effet Placebo c’est 30% de réussite en général et jusqu’à 70% dans certains cas comme pour les maux de tête ! Vous pensez que ça ne marchera pas sur vous ? Que vous êtes trop malin ? Dr Jean-Jacques Aulas, psychiatre et psychopharmacologue clinicien au CHU de Saint-Etienne nous explique : “Il y a eu de très nombreuses études qui ont essayé de corréler un profil de personnalité à une réponse placebo. Toutes se sont plantées. Aucun profil de personnalité ne permet de prédire la réponse à un placebo.“ Publié dans l’International Association for the Study of Pain, une étude nous montre qu’un placebo peut même agir de façon efficace quand bien même le patient SAIT qu’il n’a pris qu’un placebo ! Être sensible à l’effet Placebo n’est donc pas une marque de crédulité en soit ou de manque d’intelligence… le manque d’intelligence au contraire serait de NE PAS employer consciemment ce phénomène ! Car oui, il est établi que s’attendre au mieux apporte de meilleurs résultats : “Une attitude optimiste est associée avec de meilleurs résultats de santé cardiaque et une fonction immunitaire améliorée, parmi d’autres effets positifs.” Source : Science Daily “Des attentes positives prédisent une meilleure santé, et cette relation est en partie dû au objectifs que se donnent
Test BOLT, ou comment renforcer le système respiratoire
Une fois de plus, je dois rappeler que les informations proposées dans cet article et dans la vidéo ci-bas ne peuvent se substituer à un avis médical et n’ont aucune visée thérapeutique. Demandez toujours l’accord de votre médecin avant d’essayer quelque technique de respiration que ce soit. Damien Casoni, Mandataire SynerJ-Health, explique en vidéo comment renforcer son système respiratoire naturellement : https://youtu.be/mRM4K-eb3Q4 Mon travail c’est de vous conseiller de façon précise sur les aliments complémentaires créés par Jacques Prunier et son équipe. Ceci dit, passionné par la santé et la longévité, j’aime aussi partager, de façon simplifiée ce qui me semble important pour aider chacun à prendre en main son bien-être de façon plus efficace. Et j’ai justement été enthousiasmé par la lecture de l’ouvrage The Oxygen Advantage dont le sujet est la respiration, ou plus exactement l’oxygénation, car nous confondons souvent les deux comme nous allons le voir. A qui en particulier s’adresse ce sujet : aux personnes craignant d’être gravement affectée par le coronavirus (cliquez ici pour savoir quelle stratégie employer pour stimuler votre système immunitaire), particulièrement les asthmatiques et personnes avec faible capacité respiratoire aux sportifs qui veulent optimiser leurs performances aux personnes étant constamment fatiguées et dormant mal les personnes touchées par l’arthrose et les douleurs articulaires, signe de mauvaise oxygénation des tissus cartilagineux et osseux ! Allons donc avec une première affirmation d’importance : Prendre de grandes inspirations ne sert à rien pour s’oxygéner En période de repos, une personne en bonne santé ventile un volume de 4 à 6 litres d’air par minute, ce qui résulte en un taux d’oxygène contenu dans les globules rouges (aussi appelé saturation sanguine en oxygène) de 95 à 99% par défaut. Sur ces 95% d’oxygène, 2% seulement seront dissous dans le sang et 98% seront transportés par l’hémoglobine, une protéine qui se trouve à l’intérieur des globules rouges et donne au sang sa couleur rouge. De fait, nous sommes toujours en surplus d’oxygène et nous en exhalons même beaucoup. En repos, 75% d’oxygène est exhalé, et 25% en effort physique, car une bonne partie est consommée par les muscles. Le sang est déjà saturé. Vouloir viser 100% d’oxygènation sanguine n’apporte rien. Ce serait comme vouloir verser plus d’eau dans un verre déjà rempli à ras bord. Inspirer trop d’air est même problématique, comme nous le verrons ci-bas ! Améliorer l’assimilation de l’oxygène, pas sa quantité C’est un peu comme avec la fonction intestinale : une personne en surpoids est toujours affamée, souvent car elle n’assimile pas bien les nutriments de son alimentation, d’où l’importance répétée du rééquilibrage intestinal. De même, le problème d’une personne en asphyxie (asthme, etc.) n’est pas vraiment un manque d’oxygène dans le sang, mais le fait qu‘il n’y a pas assez d’oxygène relargué du sang vers les tissus et les organes. C’est Christian Bohr, physiologiste danois et lauréat du prix Nobel, qui a identifié dès 1904 l’effet physiologique qui porte désormais son nom. L’effet Bohr en résumé : quand il y augmentation de la pression de CO2 (dioxide de carbone) dans le sang, l’acidité décroit (effet d’alkalinisation) et l’oxygène est “détaché” plus facilement de l’hémoglobine pour être assimilé par les tissus. Le CO2 n’est donc PAS un gaz “déchet” comme on nous l’a appris à l’école. Il est essentiel dans le processus d’oxygénation des tissus et des organes. Et le problème, c’est que nous n’avons souvent PAS ASSEZ de CO2 dans notre sang ! Augmenter le niveau de CO2 par la respiration contrôlée Ceci peut sembler paradoxal, mais si nous ventilons trop, nous expirons trop de CO2 et notre corps suffoque car il ne peut pas utiliser l’oxygène dans le sang ! Une baisse de la pression de dioxide de carbone, ça s’appelle l’hypocapnie, et ça entraîne une réduction des réflexes respiratoires et une vasoconstriction, laquelle va réduire le flux sanguin cérébral. Voilà pourquoi on “tombe dans les pommes” quand on hyperventile ! Contre-intuitivement, respirer MOINS (pour expirer moins de CO2) et donc augmenter notre tolérance au CO2, c’est la clé pour améliorer l’oxygénation des organes vitaux ! Le test BOLT pour mesurer votre tolérance au CO2 Le “Body Oxygen Level Test” (“Test du Niveau d’Oxygène Corporel” selon ma traduction à la louche) permet de mesurer notre tolérance au CO2. Le test n’est pas dangereux, mais soyez sûrs de le faire avec l’accompagnement de votre médecin ou d’un professionnel formé à une des différentes méthodes de rééducation respiratoire. En voici la procédure : Test à faire idéalement le matin au réveil, autrement avoir été repos pendant 10 minutes auparavant. Par le nez, inspirer puis expirer normalement, sans forcer. Se pincer le nez. Compter le nombre de secondes avant de sentir le besoin d’inspirer de nouveau. Ca peut se manifester par une contraction dans la gorge, dans les poumons ou l’abdomen. Dès ce premier signal, stopper le timer et respirer calmement de nouveau. Notez que ce n’est pas un test d’apnée ou de volonté ! L’idée n’est pas de “pousser” à travers les signaux de votre corps qui manifeste le désir d’inspirer de nouveau mais de noter précisément quand ceux-ci se déclenchent. Notez que ce n’est pas un test d’apnée ou de volonté ! L’idée n’est pas de “pousser” à travers les signaux de votre corps qui manifeste le désir d’inspirer de nouveau mais de noter précisément quand ceux-ci se déclenchent. Sachez que même des athlètes d’élite ont parfois un score de 20 secondes seulement, ce qui est l’objectif minimum à atteindre par la rééducation respiratoire. Mais pour atteindre son plein potentiel il faudrait viser un score BOLT de 40, ce qui est tout à fait possible, sans forcer, avec pratique et persévérance. Même une augmentation de 5 secondes seulement améliore l’état général et les performances de façon sensible. 3 étapes pour améliorer son score au test BOLT 1. Stopper la déperdition de dioxide de carbone Respirez par le nez ! Jour et nuit ! Ce point est tellement important qu’il sera détaillé plus bas. Eviter de prendre de grandes inspirations quand on baille, parle ou soupire. Si on remarque avoir pris une trop grande inspiration, tenir un expir à vide 10 à 15 secondes. Une bonne respiration au repos ne doit être ni visible ni audible. 2. Améliorer sa tolérance au dioxide de carbone Des exercices de rétention apnéiques (poumons vides) permettent de cultiver une bonne tolérance en Co2. C’est là